Maladies & Traitements – psy à psy

Médicaments qui apaisent les douleurs articulaires

admin — Sun, 11 Aug 2019 10:48:16 +0000

Malgré les avancées scientifiques et médicales, à ce jour, aucun médicament ni traitement n’a été trouvé pour guérir l’arthrose, cette dégradation du cartilage qui est à l’origine des douleurs articulaires. Les médicaments mis au point visent uniquement à soulager ces douleurs et freinent l’évolution de la maladie, sans plus. Mais de tels médicaments sont d’une grande aide pour les malades et leur permettent de vivre plus sereinement, sans avoir à souffrir en permanence. En effet, en cas de crise, les douleurs peuvent durer plusieurs jours, ce qui ne laisse aucun répit au malade.

En cas de fortes douleurs

L’intensité des douleurs articulaires varie, elle peut être intense et insupportable et parfois, moins forte et le malade arrive à les surmonter sans recourir à des médicaments. Mais en cas de fortes douleurs, lorsque l’intensité atteint un niveau trop important, le paracétamol et les anti-inflammatoires non stéroïdiens peuvent aider à soulager assez rapidement. Certains de ces médicaments se présentent sous forme de compresses, à appliquer directement sur les zones concernées. Les gels anti-douleurs sont aussi à appliquer localement. Il faut savoir que ces médicaments n’aident pas à régénérer le cartilage, ils soulagent juste les douleurs. Ce genre de traitement doit être mis au point par un médecin, naturellement.

Les compléments alimentaires

Pour un traitement de fond, un médecin pourra recommander des compléments alimentaires. Ce ne sont pas des anti-douleurs qui agissent aussi vite que les médicaments, les compresses et les gels, ils agissent en profondeur et leur action est plus lente. Il existe des compléments alimentaires qui comportent de la glucosamine, de la chondroïtine, des acides gras oméga-3, du silicium, du soufre, des oligo-éléments, des plantes et de la vitamine qui sont tous excellents soit pour protéger et consolider le cartilage, soit pour lutter contre l’inflammation, soit pour renforcer le capital osseux.

Avancées dans le traitement du paludisme

admin — Fri, 25 Jan 2019 15:33:12 +0000

Cela fait longtemps que le paludisme sévit dans le monde et malgré les avancées scientifiques en la matière, cette maladie ne cesse de faucher des vies année après année. Le paludisme touche aussi bien les adultes que les enfants, hommes et femmes de toute race et de tous âges. Il existe des zones endémiques où les victimes ne se comptent plus mais les personnes qui doivent voyager dans ces pays sont aussi exposées à la maladie. Que peut-on dire sur les traitements du paludisme ?

De nombreuses recherches en cours

De nombreux laboratoires dans le monde continuent leurs recherches sur le vaccin contre le paludisme qui soit vraiment efficace. Fort heureusement, les traitements existent pour soigner les personnes atteintes. Ce qui inquiète les médecins aujourd’hui, c’est l’émergence de phénomènes de résistance. Ils sont au nombre de deux, d’abord la résistance des parasites aux médicaments contre le paludisme et puis, la résistance des moustiques aux insecticides qui sont destinés à les éliminer. Cette nouvelle situation complique les recherches et annule les effets de certains traitements. Les spécialistes espèrent que le nouveau médicament, la tafénoquine, sera plus efficace et protégera notamment les voyageurs sur une longue durée (environ 2 semaines).

Un vaccin anti-paludique, pour quand ?

De nombreux chercheurs espèrent également trouver, enfin, le vaccin anti-paludique qui pourrait sauver des millions de vie chaque année. Des équipes de chercheurs à travers le monde, dont en France, fournissent un travail remarquable dans le but d’élaborer un vaccin efficace. Le problème actuellement, c’est que les parasites Plasmodium passent par plusieurs stades dans leur cycle de vie, ce qui rend difficile la mise au point d’un vaccin qui serait efficace à chaque stade de ces cycles. Il est donc impossible à ce jour de se prononcer sur la date probable de l’arrivée d’un vaccin contre le paludisme.

Comment savoir qu’on souffre d’hypertension artérielle ?

admin — Fri, 07 Sep 2018 07:34:20 +0000

Un certain nombre d’idées reçues circulent sur les symptômes de l’hypertension artérielle. On parle de troubles visuels, de maux de tête, d’étourdissements et d’autres encore. Certains soutiennent que les bourdonnements d’oreilles, l’impression de mouches volantes, les saignements de nez sont également des signes d’alerte de cette maladie cardiovasculaire. Qu’en est-il en réalité ?

Les maux de tête ?

En effet, les maux de tête sont l’un des symptômes d’une pression artérielle élevée. Si une personne qui n’y était pas sujette se met brusquement à avoir mal à la tête de façon fréquente, ce peut être le signe de l’augmentation de sa pression artérielle. Ce peut être juste des maux de tête banals qui se dissipent à coup de paracétamol et pour s’en assurer, il est préférable de consulter son médecin. Celui-ci mesurera la tension et confirmera ou infirmera la suspicion d’hypertension artérielle. Si l’on possède soi-même un tensiomètre, on peut s’automesurer avant de se rendre chez le médecin. Pour confirmer un diagnostic, il faut prendre sa tension 3 fois par jour pendant 3 jours.

Pour savoir si on souffre vraiment d’hypertension artérielle

En cas d’automesure, il y a des applis gratuites telles que le Dépist’HTA qui peuvent aider. Si on s’automesure, il faut effectuer trois mesures par jour, 3 jours d’affilée, autrement dit, il faut au total entre 12 et 18 mesures pour confirmer si on souffre d’hypertension artérielle ou non. Si la moyenne de ces mesures dépasse les 135/85 millimètres de mercure (mmHg), c’est qu’il y a hypertension artérielle. Au-dessous, tout va bien, il n’y a pas lieu de s’inquiéter. Mais s’il y a hypertension, il faut sans tarder consulter et le médecin va instaurer un traitement adapté selon la pression, l’état de santé globale de la personne et d’autres éléments encore.